La relation entre Sherlock Holmes et John Watson (3)...

Dans deux articles précédents, j’ai tenté de trouver, dans la saison 1, des indices qui permettraient de définir la nature de la relation entre nos deux compères.

Poursuivons nos investigations et relevons maintenant les indices dissimulés dans la saison 2, tout en affirmant, bien sûr ! haut et fort ! que cela ne nous regarde pas, non non non… 

 

Episode 1 saison 2.

Dans cette saison, John a vraiment changé de comportement. Tous les indices qui nous mettent sur une éventuelle piste viennent alors essentiellement de son attitude … envers son beau coloc aux yeux d’azur (Ben quoi c’est vrai non, z’allez pas me dire que Sherly il a des yeux moches de mouche, hein !!!)… ou envers ceux qui l’approchent…

 

Voyons plutôt (justement…)…

 

Indice 12 (déjà ?...)

Les garçons vivent maintenant comme un vrai petit couple au 221B. Et de ce fait, John a donc une conduite plus « décontractée » et complice vis-à-vis de son compagnon de petit déjeuner, a savoir :

 

- il s’inquiète pour lui toutes les trente secondes (il téléphone par exemple à son beau-frère… (euh non à Mycroft, sorry !) pour savoir si Sherly n’a pas repris la clope (très mauvaise pour sa santé !)…

il n’hésite pas à braver les intempéries pour rencontrer en cachette le dit beau-frère afin de parler de lui et surtout d’améliorer les relations familiales dans la famille Holmes

ou bien il questionne Madame Hudson pour savoir si Sherlock n’est pas un peu trop seul abandonné en ce moment)…

John : « Dites-moi, est-ce que vous savez s’il a jamais eu une copine, un copain, quelqu’un ! une relation amoureuse quoi !!

Madame Hudson : - Je n’en sais rien…

John : - Pourquoi on en sait rien ?

Madame Hudson : - C’est Sherlock ! Comment voulez-vous qu’on sache ce qui se passe dans sa drôle de petite tête ? »

 

- il le protège de la souffrance (il demande à Irène Adler de prévenir Sherlock qu’elle est en vie, afin que ce dernier ne soit plus malheureux et recommence enfin à manger ; ou bien il demande à Mycroft de ne pas lui dévoiler la mort de LA femme, afin de lui éviter d’être triste)

et du vilain méchant Momo.

 

- il joue les nounous attentives (il le couche quand il est malade…

et reste sagement à la veiller toute la nuit dans le salon, 

 

John : « Si tu as besoin de moi je suis juste à côté…

Sherlock : - Pourquoi aurais-je besoin de toi ??

John : - Mais pour rien du tout… »

 

ou alors il attend patiemment qu’il rentre le soir pour lui préparer son petit thé (étant donné que Sherlock est redevenu anorexique à cause d’une femme, pfff)…avant son gros dodo…)…

 

- il le défend bec et ongle contre les remarques et les médisances des uns et des autres, justifie sans cesse ses déviations de comportement et ses dérapages verbaux,

 

- il le taquine (avec le bruit de sa messagerie de portable, par exemple), le fait sourire, lui remonte le moral… est trop choupinou, quoi…

mais reconnaissons aussi qu’à côté de ses gentilles attentions quotidiennes, Johnny Boy n’hésite plus du tout à faire passer Sherlock pour une truffe, à lui dire de la boucler, et à le remettre à sa place avec de petites réparties cinglantes et pas piquées des hannetons… car Sherlock l’agace, mais l’agace !!!

John s’affirme enfin, joue son rôle de « mâle » dans la maison, s’impose d’une main ferme et délicate… Ouf…Il était temps !!!

 

Si John a une conduite différente envers son Sherly, il a également une conduite différente avec ceux qui approchent son Sherly… surtout lorsqu’il s’agit d’une femme…

 

Indice 13.

Le comportement de John vis-à-vis de Irène Adler est, à mon sens, très ambigüe. En effet, John soit plaisante et ironise sur l’attirance plus ou moins réciproque qui existe entre les deux,

John : « Hamish. John Hamish Watson. Si vous chercher un nom pour un bébé ! »

(notons simplement que pour le prénom du dit-bébé, il donne l'un des siens mais bon...)

 

soit il montre des signes évidents de jalousie lorsque LA femme « drague » Sherlock

ou qu’elle lui apprend qu’elle flirte avec le beau détective…

Irène Adler : « Alors pour lui je suis quelqu’un de spécial ?

John : - Je ne sais pas. Peut-être bien…

Irène Adler : - Vous êtes jaloux ?

John : - On n’est pas un couple !!!!

Irène Adler : - Oh que si !!

John : - Difficile de savoir ce qu’il en est pour Sherlock Holmes, mais je signale quand même ! si cela intéresse qui que ce soit ! que je ne suis pas homosexuel !!! "

 

Pas besoin de te justifier Johnny, on n'avait jamais, mais alors jamais ! douté de ça, non non non !!!! Loin de nous cette idée saugrenue !!! A que de mauvaises langues !! (Si j'ose...^^)

D'ailleurs nous le verrons bien dans les deux autres épisodes, ne t'inquiète pas...

 

(A suivre, donc ! ^^)



09/05/2012
3 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 52 autres membres